« Un homme laid ne doit pas reprocher au miroir d’être de travers. »
Faute d'une politique "énergétique" en matière de tout, depuis quelques décennies, dont les signes atteignent un tel paroxysme, n'est-ce pas Balzac qui disait "La France est un pays qui adore changer de gouvernement à condition que ce soit toujours le même." Il se pourrait bien que l'avenir nous montre une tout autre réalité... " Je suis un monarchiste, la République n'est pas le régime qu'il faut à la France", répétait le Général De Gaulle.
Dans un pays qui avait les yeux du monde braqués sur lui, non pas par la vanité de ces ''élites'', mais bien par le courage de son peuple pour garder sa souveraineté. Toute son histoire est étroitement liée au destin de son peuple, à la fois magique et magnifique, très loin de l'image que l'on peut entrevoir dans la plupart de ces ''médias'' froid, fainéant et raciste...
Sous la contingence de mots pompeux, les économistes de notre temps nous enflent par leur iniquité, pourvoyeurs de termes hémorragiques et fiévreux qu'eux-même n'arrivent pas à en préciser le réel sens, déflation, inflation, fluctuation, offre, et demande, tous ceux-ci ne s'articulent en fait qu'à une seule réalité celle qui traverse les siècles et oeuvre à la thésaurisation d'une dette qui n'a que pour objectif d'asservir les peuples, dont les verbes avoir et être ne font qu'un...
Aucun d’entre eux n’expliquera l’usure d’une dette qui force à acheter des biens de base beaucoup plus élevés, en faisant crédit, ... C'est ainsi que ce jeux d'intérêt façonne une ascension des prix pour que vous puissiez facilement vous endettez très, très longtemps résultant une création de la monnaie, pas celle du Bitcoin, une autre tout aussi virtuelle........
Et en matière d’abondance de bien, il suffit simplement de comprendre comme l’a souligné Alfred Sauvy que « les invendus sont pris pour des excédents » et donc, que nous savons que c'est juste un leurre coutumier. Dans une économie abondanciste, il est préférable pour sauvegarder ses profits de réduire la production en attendant de détruire les excédents….
En premier lieu des biens de base, l'immobilier, un marché dans lequel le prix est tant élevé que les professionnels poursuivent en nous faisant croire que le prix de vente sera encore plus élevé demain, alors que les causes essentielles ne justifient en aucune manière des prix si élevés... Tous ceci, vous l'aurez bien compris, qu'il s'agit de préserver ces intérêts d'usure....
Pour cela ressortons les poncifs, "Achetez", "Le marché est sain", "Il n'existe pas de bulle", "Endettez-vous sur 50 ans", "Louer c'est perdre de l'argent", d'agents experts immobiliers spécialisés dans le bâtiment, nous sommes passés à des agents spécialistes en marketing spécialement centrés sur le financier... Tout est financier, tout est miroir qui reflète un état qui frise le ridicule : Être propriétaire d'un 80 m2 dans un quartier pourri, c'est être riche. Une sorte d'idéal du mode de vie familial dont le bilan est tragiquement coupable et dramatique. Des lotissements ''abordables'' mais déplorables par la misère sociale qui s'y développe, éloigné de tous comme des maudits que l'on repousse hors du cercle de la ville économique.
Tout ceci n'est que le résultat de l'inefficacité des multiples politiques successives, très loin des exigences constantes pour que l'activité économique soit pérenne et durable. Des vanités politiques qui nous ont exhibé sur plateau des entrées d'agglomération hideuses en consommant du foncier, l’équivalent d’un département urbanisé tous les dix ans, agrémentées de bitume commerciale pourtant mode antédiluvien de consommation.
Dans cette vision peu glorieuse mais tellement cruelle, un énième plan pour sortir de cette impasse a jailli, mais très loin de la réalité pour maîtriser le prix du foncier, d'aborder une conception urbaine légitimée par un confort de vie à tous, loin du standard matérialiste motivé par le seul profit que les bobos s'enflent d'orgueil.
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